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    Discours de la MéthodeNB : le texte ci-dessous ne représente que mon avis personnel et n’engage « Ensemble ! » en aucune façon.

    Je n’ai évidemment pas la présentation de vouloir réécrire ni discuter le livre que René Descartes a écrit en 1637. Qui ne connait pas le fameux « je pense donc je suis » ?

    Je voudrais parler, plus prosaïquement d’un évènement qui, pour n’être pas le principal dans ces temps d’épidémie et de crise économique, pourrait toutefois être de nature à influer sur nos vies : ça y est, c’est fait ! Quoi, qu’est ce qui est fait ? Ben… Jean-Luc Mélenchon a présenté sa candidature aux élections présidentielles de 2022.

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  • Pas de manif aujourd'hui, confinement oblige. Alors juste un petit article en guise de rappel historique de ce que représente le 1er mai. Certain-e-s d'entre vous, sans doute la plupart, le savent déjà. Mais le rappeler ne fait jamais de mal. C'est ce qu'on m'a appris quand j'étais encore enseignant, il y a tout juste un mois !

    Et pour commencer, parlons un peu de ce symbole du 1er mai : le muguet.

    Comment ça, qu'entends-je ? ce n'est pas le muguet le symbole du 1er mai ? On nous aurait donc menti tout ce temps ? Impossible. Et pourtant...

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  • Préparer l'après ! Ils ne s'en tireront pas comme ça !Les cotes de popularité de notre gouvernement s'envolent ! Alors qu'elles étaient au plus bas, on voit un Macron grimper de 13% et un Philippe prendre +10%. Qu'est ce à dire ? On mettra cela sur le compte d'une opinion publique déboussolée et inquiète, qui a besoin - c'est humain - d'être rassurée et dirigée dans ces temps difficiles.

    Mes compatriotes ont-ils/elles bien noté, cependant, que tant le président que le premier ministre étaient aussi déboussolés qu'eux/elles ? Non ? Pourtant, entre un discours de l'un, le 16 mars, aux accents gaulliens (communistes ?) sur la nécessaire planification et nationalisation des secteurs stratégiques délaissés par la gabegie libérale, mais qui au final, n'a accouché que du confinement ; et le discours de l'autre, hier soir 23 mars, insipide au possible, comparant les méfaits d'un jogging d'une fois une heure, ou d'une sortie plein-air de deux fois une demi-heure, il ne se passe rien ! Personne ne dirige rien !

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  • La Légion d'Honneur pour Pia Klemp !Dans la rubrique "humeurs", j'aime partager ce qui, à un moment donné, me fait dire "mais dans quel monde vit-on ? On marche sur la tête !". Aujourd'hui, ça va être très court, mais je trouve quand même ça fort en cacahouète !

    Le parallèle est sidérant, ahurissant, et d'autre mots en "ant". Qu'on en juge.

    Aux Sables d'Olonne, un pêcheur est en difficulté, en pleine tempête. Sept marins de la Société Nationale de Sauvetage en Mer (SNSM) prennent la mer pour le secourir, sans se poser de questions, comme tout homme ou femme dévoué-e aux autres. Hélas, on le sait, trois d'entre eux trouveront la mort dans cette tentative de sauvetage désespérée.

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  • La république des copains et des coquins, ça suffit !Encore une fois, la justice de classe a frappé. Utiliser cette expression aujourd'hui est devenu tellement fréquent que l'on ne saisit même plus la portée de ce qu'elle signifie. Ce serait presque devenu un pléonasme.

    Christophe Dettinger, le boxeur Gilet Jaune qu'il n'est plus nécessaire de présenter, a écopé hier d'une peine de 30 mois de prison, dont 18 avec sursis. Malgré un aménagement de peine qui l'autorise à garder une vie familiale et professionnelle dans la journée, il devra venir coucher tous les jours en prison.

    Je ne porterai aucun jugement de valeur sur l'action de Christophe Dettinger. En tous cas, je ne joindrai pas ma voix au concert des hypocrites qui proclament, la main sur le cœur, que l'on ne doit pas frapper un policier, grand défenseur de l'ordre républicain devant l'éternel. Christophe Dettinger a regretté son geste devant la cour. On peut le comprendre : lorsqu'on se retrouve seul devant un tribunal, on peut avoir peur de finir en prison et détruire sa vie. Mais que celui ou celle qui prétend savoir exactement comment il ou elle aurait agi à sa place, lorsqu'on se fait gazer en pleine face et que l'on est témoin de violences et d'injustices policière manifestes, lui jette la première pierre.

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